Matinale du jeudi 21 février

Par le 21 février 2013

Tous les jeudis, les membres de l’équipe d’Haut Courant animent la matinale sur Radio Campus Montpellier.

Au programme du 21 février 2013 :

 Les titres de l’actualité internationale et nationale – Lucie Lecherbonnier

 Interview d’Arnaud Béal, doctorant en psychologie sociale à l’université Lyon 2 au sujet des chômeurs qui se sont immolés par le feu devant des agences Pôle Emploi – Jordane Burnot

 Journal d’informations locales – Mathilde Roux

 Chronique : Le programme scolaire – Simon Robert

 Interview de Jean-Louis Blenet, président de la confédération de la Calandrette, un ensemble d’écoles occitanes, au sujet de la sauvegarde de la langue occitane – Coralie Pierre

 Animation : Pauline Chabanis

Matinale du jeudi 21 février 2013 sur Radio Campus Montpellier by Hautcourant on Mixcloud

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à propos de l'auteur

Auteur : Pauline Chabanis

En 1988, alors qu’Etienne Chatiliez racontait sur grand écran l’histoire trépidante des familles Groseille et Le Quesnoy, je vivais les premières minutes d’une vie qui n’aurait rien d’un long fleuve tranquille. En réalité, de Lyon à Montpellier, en passant par Cannes, j’ai plutôt ricoché. D’un naturel pragmatique et rigoureux, je me tournai très vite vers une filière scientifique, jonglant avec les chiffres, jouant avec les équations. J’étais le Fred de la fonction affine, le Jamy de la masse molaire et je n’y trouvais vraiment rien de sorcier. Puis je me suis rendue compte que les expériences les plus enrichissantes ne se faisaient pas dans des laboratoires mais à travers des rencontres et un partage d’informations. Je n’ai pas eu d’appel, de vocation ; le journalisme ne s’est pas imposé comme une évidence mais comme une alternative envisageable. Une voie possible que j’ai empruntée, d’abord à tâtons en intégrant l’IUT journalisme de Cannes, puis d’un pas décidé lorsque j’ai réalisé, à travers des stages variés, que ce milieu me convenait. Curieuse et déterminée, je ne m’imagine pas en Indiana Jones de l’information, casse-cou et engagée mais en ouvrière discrète de la société. Je ne veux pas de fabuleux destin télévisé, juste une toute petite place en presse spécialisée… sans en faire tout un cinéma.