TOP 5 des vins « enfantins » à Millésime Bio

Par le 27 janvier 2016

Cette semaine nous avons parcouru toutes les allées du Salon Millésime Bio (oui, toutes !) à la recherche des noms de vin les plus originaux. Nous avons demandé aux vignerons quelle est l’histoire qui se cache derrière ces noms atypiques. Ils livrent des anecdotes tantôt drôles tantôt attendrissantes.

Aujourd’hui les vins des « bambins », issues de jeunes vignes dont le nom fait souvent référence aux enfants des vignerons.

-234.jpg


Rêve de gosse – Le clos Roussely

-236.jpg

Comme un doux parfum de nostalgie. Ce vin est le rêve d’un enfant devenu grand. Vincent a racheté les vignes de son grand-père il y a 15 ans et l’a combiné avec la passion de son père pour les camions. Une délicieuse cuvée tri-générationnelle.




Les bambins – Clos des Augustins

-234.jpg

« C’est le fruit de l’amour, C’est le fruit du labeur, Le bonheur de les élever, Retrouvez dans vos verres, Un peu de cet amour sur terre ». Poème de Frédéric et Pauline, les « vignerons heureux » qui ont créé ce vin dédié à leurs enfants.




Les gamines – Abbaye Les Champs

-235.jpg

Les gamines, ce sont celles d’Alain et Isabelle leur deux petites filles de 8 et 10 ans. Mais c’est aussi la première cuvée, celle des jeunes vignes.




Les Pitchounettes – Domaine les 4 vents

-238.jpg

Double clin d’œil pour les Pitchounettes : pour les trois filles de Lucie, vigneronne du domaine les 4 vents, ainsi que pour la cuvée de ses toutes premières vignes. Les Pitchounettes, des vignes toutes jeunes et toutes mignonnes.




Le Jouet – Domaine des enfants

-237.jpg

Un terrain de jeu pour son vigneron, ce vin était une manière de tester des nouvelles expériences avec les cépages. Mais un jouet à utiliser avec modération.

Catégorie(s) :
Étiquettes : , ,

Vous avez aimé cet article ? Partagez-le !

à propos de l'auteur

Auteur : Jonathan Rodriguez

Né en terre Montpelliéraine, le journalisme m’est toujours apparu comme une évidence. Les notions de partage et de curiosité m’ont constamment accompagné dans mon développement. Rendre compte du monde qui nous entoure est mon leitmotiv. Passionné par le cinéma depuis le plus jeune âge - où les douces images de Terrence Malick m’ont bercé – ainsi que par le sport et sa ferveur enivrante, le journalisme me permet à travers ses formats divers et variés de transmettre ses passions, les faire vivre et c’est ce qui est le plus important. La transmission. Ma formation en science politique m’a également permis d’accentuer mon attrait pour la politique, les relations internationales et les questions sociétales. Du nécessaire Mediapart, au collectif revigorant So Press en passant par l’indispensable Monde Diplomatique, toutes ses inspirations me façonnent au quotidien et me confortent un peu plus chaque jour dans mon envie d’être un journaliste. Je me bats pour un journalisme citoyen, ludique, intelligent et accessible. « A quoi est supposé servir un journaliste, selon les canons d’une tradition qui unit règles professionnelles et principes politiques ? Tout simplement à apporter aux gens les informations dont ils ont besoin pour être libres et autonomes. » Edwy Plenel